Catégorie : Les pensées positives pour avancer
Il est important de mettre des mots à nos maux. Je vous diffuse un texte lu par Charlie Chaplin de Kim McMillen qui traduit les symptômes de bons nombres de mes patients qui viennent me consulter. J’ai trouvé ce texte magnifique et très vrai. D’ailleurs les commentaires sur ma Page Facebook ont été « très bon, j’adore, magnifique, excellent, tellement vrai… » je ne pouvais le garder pour moi, je vous en fait donc profiter.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… L’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… L’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… La Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… Le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… L’Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé d’avoir peur du temps libre. Et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plaît et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… La Simplicité.
e jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert… L’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois et cela s’appelle… La Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est…
Le Savoir vivre.
Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.
Du chaos naissent les étoiles.
Alors maintenant, vous savez ce qu’ils vous restent à faire.
Pour l’esprit terne, toute la nature est terne. Pour l’esprit illuminé, le monde entier flambe et rayonne.
J’ai compris qu’il y a des priorités dans la vie.
Que les gens que tu rencontres ne sont pas forcément tes amis. Que dans la vie on a pas toujours ce qu’on veut.
J’ai compris qu’on est rien sur terre, en une seconde tout peut s’écrouler, rien n’est jamais acquis.
J’ai compris qu’il ne fallait pas être prétentieux ni incapable.
Que certains sujets importants font réfléchir, jusqu’à atteindre l’endroit sensible qui parfois nous déchire.
Responsable je le suis et des choses j’en prends conscience.
Par cette cause je sais très bien à qui j’accorde ma confiance.
J’ai compris que faire du mal aux gens n’était pas bien.
Que les regrets ne sont plus utiles quand la mort te parvient.
Que chaque seconde nous est enlevée de notre crédit de vie.
J’ai compris que sans patience, courage et volonté, on n’arrive à rien.
Qu’il ne faut pas se fier à l’apparence ni à la grandeur.
Car j’ai compris que l’important c’est ce qu’il y a dans le cœur.
Kery James
J’ai compris qu’il y a des priorités dans la vie.
Que les gens que tu rencontres ne sont pas forcément tes amis. Que dans la vie on a pas toujours ce qu’on veut.
J’ai compris qu’on est rien sur terre, en une seconde tout peut s’écrouler, rien n’est jamais acquis.
J’ai compris qu’il ne fallait pas être prétentieux ni incapable.
Que certains sujets importants font réfléchir, jusqu’à atteindre l’endroit sensible qui parfois nous déchire.
Responsable je le suis et des choses j’en prends conscience.
Par cette cause je sais très bien à qui j’accorde ma confiance.
J’ai compris que faire du mal aux gens n’était pas bien.
Que les regrets ne sont plus utiles quand la mort te parvient.
Que chaque seconde nous est enlevée de notre crédit de vie.
J’ai compris que sans patience, courage et volonté, on n’arrive à rien.
Qu’il ne faut pas se fier à l’apparence ni à la grandeur.
Car j’ai compris que l’important c’est ce qu’il y a dans le cœur.
Kery James
« Qui sait ? Qui sait vraiment si la tortue n’est pas une pierre qui, à force de rêver, est parvenue à avancer…. » Guy Marchand.
« Qui sait ? Qui sait vraiment si la tortue n’est pas une pierre qui, à force de rêver, est parvenue à avancer…. » Guy Marchand.
Plus nous crierons après nos enfants, plus ils auront des habitudes nerveuses. Tirer les cheveux, mettre les doigts dans le nez, cligner des yeux, faire pipi au lit et encore d’autres symptômes de stress, tout cela augmente lorsque les parents crient plus. Plus nous crierons, plus leur santé physique se dégradera : encore plus de maux de tête, de maux d’estomac, de rhumes et de grippes. Plus nouscrierons, plus ils auront tendance à avoir des problèmes de comportement : désobéissance et attitude de défi à la maison et/ou à l’école. Plus nous crierons, plus nos enfants auront des problèmes sociaux : être victimes des enfants tyrans, être eux-mêmes des enfants tyrans, avoir du mal à se faire et à garder des amis. Et plus nous crierons, plus ils auront tendance à être distraits dans leur travail scolaire. Aucun enfant d’une maison où l’on crie ne s’effondre de toutes ces façons à la fois. C’est la vulnérabilité de chacun qui déterminera la ou les zone(s) de fonctionnement qui pourront être affectées.
Et il y a plus. Si nous leur crions dessus pendant deux décennies consécutives (c’est-à-dire à travers les années de l’adolescence), arrivés à l’âge adulte, ils auront tendance à avoir : plus de troubles de la personnalité, plus de problèmes relationnels, plus de dépression et d’anxiété, plus de problèmes de santé, plus de difficultés pour éduquer leurs enfants, plus de dysfonctionnements de toutes les sortes possibles.
Plus nous crions à nos enfants, et moins ils nous apprécient. Moins ils nous apprécient, moins ils veulent être comme nous. En ne s’identifiant pas à nous, ils peuvent rejeter nos enseignements, nos valeurs et tout ce que nous voulons leur transmettre. Ainsi, plus nous crions, moins nous pouvons influencer nos enfants dans la direction que nous voulons qu’ils empruntent. Transmettre notre héritage juif, leur enseigner à différencier le bien et le mal, leur apprendre ce qui nous semble fondamental – notre capacité à faire tout cela est sérieusement menacée si nous crions sur nos enfants.
De plus, il y a de bonnes chances que les enfants sur qui nous crions fréquemment pendant 20 ans ne nous aimeront plus tellement quand ils grandiront et quitteront la maison. Certains ne nous parleront plus jamais. Certains iront habiter à l’autre bout du monde et n’appelleront qu’une fois de temps en temps. Certains resteront suffisamment près pour se disputer avec nous pour toujours. Peut-être verrons-nous nos petits-enfants. Peut-être pas. Et nos petits-enfants seront très susceptibles de se faire crier dessus parce que nous aurons installé dans le cerveau de nos enfants le logiciel du cri. Lorsque nous crions contre nos enfants, nos cris parviennent à nos petits-enfants et au-delà.
Donc, même s’il est tentant de crier pour toutes les raisons citées plus haut, c’est probablement un prix trop élevé à payer pour obtenir un peu de coopération. Heureusement, il existe des alternatives inoffensives et puissantes pour obtenir la coopération d’un enfant. Cela vaut la peine de les apprendre.
De très nombreuses études ont montré qu’il n’est pas vraiment possible d’influencer les enfants d’une façon positive sans avoir au préalable établi un lien avec eux.
Si punir, sermonner, gronder, accuser, humilier et crier ne créent pas de lien, alors quelles sont les alternatives ?
Quels outils pour connecter avec l’enfant ?
Connecter avec l’enfant par l’écoute :
° Ecouter de façon active…écouter vraiment. Prendre le temps de centrer toute son attention sur l’enfant (éliminer les parasites comme les télephones portables, par exemple).
La connexion s’établit lorsque l’adulte commence par valider ce que ressent l’enfant. De la même façon, n’est il pas plus facile pour nous adulte, d’être en lien et réceptifs à l’autre lorsque nous nous sentons compris ?
° Partager avec lui nos sentiments, de façon appropriée.
Souvenons-nous que les enfants nous écoutent après avoir eu le sentiment d’être écoutés.
Les enfants se sentent mis en valeur quand nous partageons respectueusement avec eux quelque chose de personnel.
Respectueusement, c’est à dire sans inventer d’histoires pour faire valoir notre point de vue ou transmettre une morale. Un partage vrai.
° Se centrer, avec les enfants, sur les solutions possibles, une fois le calme revenu. Le mot « avec » est omniprésent parce qu’il représente la voie royale de la connexion.
° Prendre du temps pour s’entraîner et installer les apprentissages de façon respectueuse.
° Poser des questions de curiosité pour aider les enfants à explorer les conséquences de leurs choix au lieu de leur faire subir les conséquences.
° Faire confiance aux enfants, aux élèves pour gérer eux-même leurs problèmes. (Apportons-leur notre soutien dans la recherche de solutions, validons leurs émotions, témoignons-leur notre affection tout en résistant à la tentation de trouver pour eux une solution, de réparer à leur place).
° Passer avec eux un « temps dédié », à deux (sans portable). Rien ne saurait crée un lien plus riche avec nos enfants, nos élèves, que de passer avec eux un temps de qualité apprécié par chacun.
° Les gestes d’affection, lorsque le contexte s’y prête et que cela permet de se sentir mieux avant de faire mieux.
Plus nous crierons après nos enfants, plus ils auront des habitudes nerveuses. Tirer les cheveux, mettre les doigts dans le nez, cligner des yeux, faire pipi au lit et encore d’autres symptômes de stress, tout cela augmente lorsque les parents crient plus. Plus nous crierons, plus leur santé physique se dégradera : encore plus de maux de tête, de maux d’estomac, de rhumes et de grippes. Plus nouscrierons, plus ils auront tendance à avoir des problèmes de comportement : désobéissance et attitude de défi à la maison et/ou à l’école. Plus nous crierons, plus nos enfants auront des problèmes sociaux : être victimes des enfants tyrans, être eux-mêmes des enfants tyrans, avoir du mal à se faire et à garder des amis. Et plus nous crierons, plus ils auront tendance à être distraits dans leur travail scolaire. Aucun enfant d’une maison où l’on crie ne s’effondre de toutes ces façons à la fois. C’est la vulnérabilité de chacun qui déterminera la ou les zone(s) de fonctionnement qui pourront être affectées.
Et il y a plus. Si nous leur crions dessus pendant deux décennies consécutives (c’est-à-dire à travers les années de l’adolescence), arrivés à l’âge adulte, ils auront tendance à avoir : plus de troubles de la personnalité, plus de problèmes relationnels, plus de dépression et d’anxiété, plus de problèmes de santé, plus de difficultés pour éduquer leurs enfants, plus de dysfonctionnements de toutes les sortes possibles.
Plus nous crions à nos enfants, et moins ils nous apprécient. Moins ils nous apprécient, moins ils veulent être comme nous. En ne s’identifiant pas à nous, ils peuvent rejeter nos enseignements, nos valeurs et tout ce que nous voulons leur transmettre. Ainsi, plus nous crions, moins nous pouvons influencer nos enfants dans la direction que nous voulons qu’ils empruntent. Transmettre notre héritage juif, leur enseigner à différencier le bien et le mal, leur apprendre ce qui nous semble fondamental – notre capacité à faire tout cela est sérieusement menacée si nous crions sur nos enfants.
De plus, il y a de bonnes chances que les enfants sur qui nous crions fréquemment pendant 20 ans ne nous aimeront plus tellement quand ils grandiront et quitteront la maison. Certains ne nous parleront plus jamais. Certains iront habiter à l’autre bout du monde et n’appelleront qu’une fois de temps en temps. Certains resteront suffisamment près pour se disputer avec nous pour toujours. Peut-être verrons-nous nos petits-enfants. Peut-être pas. Et nos petits-enfants seront très susceptibles de se faire crier dessus parce que nous aurons installé dans le cerveau de nos enfants le logiciel du cri. Lorsque nous crions contre nos enfants, nos cris parviennent à nos petits-enfants et au-delà.
Donc, même s’il est tentant de crier pour toutes les raisons citées plus haut, c’est probablement un prix trop élevé à payer pour obtenir un peu de coopération. Heureusement, il existe des alternatives inoffensives et puissantes pour obtenir la coopération d’un enfant. Cela vaut la peine de les apprendre.
De très nombreuses études ont montré qu’il n’est pas vraiment possible d’influencer les enfants d’une façon positive sans avoir au préalable établi un lien avec eux.
Si punir, sermonner, gronder, accuser, humilier et crier ne créent pas de lien, alors quelles sont les alternatives ?
Quels outils pour connecter avec l’enfant ?
Connecter avec l’enfant par l’écoute :
° Ecouter de façon active…écouter vraiment. Prendre le temps de centrer toute son attention sur l’enfant (éliminer les parasites comme les télephones portables, par exemple).
La connexion s’établit lorsque l’adulte commence par valider ce que ressent l’enfant. De la même façon, n’est il pas plus facile pour nous adulte, d’être en lien et réceptifs à l’autre lorsque nous nous sentons compris ?
° Partager avec lui nos sentiments, de façon appropriée.
Souvenons-nous que les enfants nous écoutent après avoir eu le sentiment d’être écoutés.
Les enfants se sentent mis en valeur quand nous partageons respectueusement avec eux quelque chose de personnel.
Respectueusement, c’est à dire sans inventer d’histoires pour faire valoir notre point de vue ou transmettre une morale. Un partage vrai.
° Se centrer, avec les enfants, sur les solutions possibles, une fois le calme revenu. Le mot « avec » est omniprésent parce qu’il représente la voie royale de la connexion.
° Prendre du temps pour s’entraîner et installer les apprentissages de façon respectueuse.
° Poser des questions de curiosité pour aider les enfants à explorer les conséquences de leurs choix au lieu de leur faire subir les conséquences.
° Faire confiance aux enfants, aux élèves pour gérer eux-même leurs problèmes. (Apportons-leur notre soutien dans la recherche de solutions, validons leurs émotions, témoignons-leur notre affection tout en résistant à la tentation de trouver pour eux une solution, de réparer à leur place).
° Passer avec eux un « temps dédié », à deux (sans portable). Rien ne saurait crée un lien plus riche avec nos enfants, nos élèves, que de passer avec eux un temps de qualité apprécié par chacun.
° Les gestes d’affection, lorsque le contexte s’y prête et que cela permet de se sentir mieux avant de faire mieux.
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