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Pourquoi la PNL peut vous aider à apprendre ?

Vous avez du mal à retenir ce que vous lisez ? Vous ne parvenez jamais à vous souvenir d’un numéro de téléphone, d’indications ou de cours ? La PNL ou Programmation Neuro-Linguistique peut vous aider à dépasser ses difficultés.

Et cela est possible à tous les âges de la vie !

Apprendre, c’est ce que l’être humain sait faire de mieux. Mais peu de personnes parviennent à apprendre efficacement… Cela peut provoquer chez elles frustration et découragement.

La pratique de la Programmation Neuro-Linguistique est un moyen de faciliter les apprentissages. Elle peut vous apprendre à apprendre. Mais qu’en est-il réellement de la PNL et des apprentissages ? Cet article répond à toutes vos questions sur le sujet !

Apprendre grâce à la PNL

Brève histoire de la PNL : quel lien avec l’apprentissage ?

La Programmation Neuro-Linguistique a été inventée  lorsque certains spécialistes  se sont aperçus que des individus réussissaient tout ce qu’ils entreprenaient, tandis que d’autres échouaient constamment.

On connaît tous cet ami à qui tout réussi alors que nous semblons galérer à longueur de semaines et d’années !

Vous avez peut-être eu le sentiment que c’était injuste. Mais les spécialistes de la PNL sont allés plus loin. Ils ont observé  que les personnes qui réussissent  maîtrisent les techniques d’apprentissages sans même s’en rendre compte.

C’est pourquoi le psychologue John Grinder et son associé thérapeute Richard Bandler se sont intéressés de près au phénomène.

Refusant le simple constat d’une capacité qui serait innée, ils ont tenté de comprendre les processus en jeu chez les personnes douées. Pour cela, ils ont rassemblé des dizaines de spécialistes et ont voyagé aux 4 coins de la planète pour filmer, observer et analyser les techniques d’apprentissage qui permettent d’atteindre l’excellence.

Leur conclusion a été claire : nous avons tout intérêt à revoir nos méthodes d’apprentissage dans tous les domaines de notre vie, école, entreprise, loisirs…

Comprendre vos blocages : pourquoi je n’y arrive pas ?

 On apprend sans cesse. Constamment. Sans s’en rendre compte. Notre cerveau perçoit et analyse des informations à chaque seconde. Mais si la capacité d’apprendre est innée, pourquoi ne parvenez-vous pas à apprendre tout ce que vous désirez ? Tout simplement parce que vous avez peut-être des blocages.

La Programmation-Neuro-Linguistique voit grand. Avant même de proposer une méthode d’apprentissage personnalisée, elle cible les points qui empêchent une personne d’apprendre correctement. Elle liste 4 niveaux de blocages qui peuvent un jour ou l’autre vous restreindre, vous limiter, vous démoraliser.

PNL et apprentissage 1

Blocage 1 : L’environnement

Certains environnements favorisent l’apprentissage. D’autres beaucoup moins. Dans quel lieu étudiez-vous ? Quel est votre environnement de travail quotidien ? Interrogez-vous. Un environnement sain améliore le processus de mémorisation.

Blocage 2 : Comportements, attitudes et capacités

 Que faites-vous concrètement pour apprendre ? Votre comportement par rapport à une tâche à réaliser détermine en partie sa réussite. De même, êtes-vous pleinement conscient de vos capacités ? Savez-vous les mobiliser au bon moment, de la bonne façon ? La Programmation Neuro-Linguistique vous y aide.

Blocage 3 : Emotions, fausses croyances et identité  

 Un étudiant qui, lors d’un contrôle se laisse envahir par son stress est un individu qui ne sait pas réguler ses émotions. Apprivoiser ses émotions, faire taire ses fausses croyances, affirmer son identité contribuent à une meilleure assimilation des savoirs.

Blocage 4 : Système de référence

 Savez-vous repérer vos vrais besoins et votre envie profonde ? Avez-vous suivi la bonne voie professionnelle, celle qui correspond à votre véritable projet de vie ? Êtes-vous vraiment aligné à votre système de valeurs ? La PNL aide à se reconnecter à ses vrais désirs.

Apprendre à apprendre : les stratégies d’apprentissage 

 Non, nous n’apprenons pas tous de la même façon. Les élèves qui réussissent utilisent tous la même méthode. On peut même être plus précis. Ils mettent en œuvre 5 stratégies majeures d’apprentissage qui font appel à nos 5 sens.

Ainsi, pour bien apprendre, il faut mobiliser toutes les opérations mentales existantes : visuelles, auditives, kinesthésiques, olfactives… Elles sont toutes aussi utiles les unes que les autres.

 La PNL a donc repéré puis modélisé 5 stratégies majeures d’apprentissage.

Comprendre grâce à la PNL

Avant de vouloir mémoriser une information, il est nécessaire de l’avoir comprise. Pour cela, rien de mieux que le dessin. Dessinez pour comprendre. Comprenez en dessinant. Au début, ce ne sera peut-être pas évident mais vous verrez, au bout d’un certain temps, cette technique vous sera indispensable !

Mémoriser plus facilement

Vous voulez retenir le trajet que votre ami vous indique. Visualisez-le ! Imaginez les ruelles, les textures des murs, les odeurs, l’ambiance… Ce sera plus facile de le retenir.

Réfléchir en utilisant le dialogue interne

 Le processus de réflexion est primordial. Il vous permettra de tisser des liens entre vos divers savoirs et connaissances acquises. Pour cela, faites appel au dialogue interne. Vous savez, cette petite voie que l’on n’arrive parfois plus à faire taire dans notre tête ? Mobilisez-la pour réfléchir sous forme d’un véritable dialogue intérieur.

Prononcer pour se rappeler

Vous souhaitez retenir un numéro de téléphone ? A voix haute ou à l’aide du dialogue interne, répétez-vous les numéros. Ceci en l’associant en même temps à un geste, une image, une odeur. Une prononciation efficace est une prononciation qui vous mobilise tout entier, activement.

Transférer les savoirs          

Imaginez un exemple concret dans lequel vous auriez vraiment besoin de savoir ce que vous êtes en train d’apprendre. Cela vous donnera une motivation pour apprendre !

Mieux apprendre avec la PNL

 

La PNL est donc une solution pour changer son rapport au savoir et à l’apprentissage. Ce n’est pas parce que vous avez du mal à retenir des informations ou à passer des examens que vous êtes idiots ! Loin de là ! Vous n’employez tout simplement pas les bonnes techniques pour apprendre. Vous êtes aussi peut-être en proie à des blocages qui vous empêchent d’être efficace et de vous épanouir dans l’apprentissage.

 

On voit donc que la PNL peut être utile dans des contextes différents : école, gestion d’entreprise, formation pour adultes, communication, marketing…

 

La pratique de la PNL vous intéresse et vous avez envie d’en savoir plus ? Nous proposons des formations 100% finançables et accessibles à tous. Pour obtenir plus de détails, cliquez-ici.

 

Vous avez des questions concernant l’article ? N’hésitez pas à les poser en commentaire.

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Famille Hypnothérapie Les pensées positives pour avancer

Plus nous crions sur nos enfants…La discipline positive !!!

Plus nous crierons après nos enfants, plus ils auront des habitudes nerveuses. Tirer les cheveux, mettre les doigts dans le nez, cligner des yeux, faire pipi au lit et encore d’autres symptômes de stress, tout cela augmente lorsque les parents crient plus. Plus nous crierons, plus leur santé physique se dégradera : encore plus de maux de tête, de maux d’estomac, de rhumes et de grippes. Plus nouscrierons, plus ils auront tendance à avoir des problèmes de comportement : désobéissance et attitude de défi à la maison et/ou à l’école. Plus nous crierons, plus nos enfants auront des problèmes sociaux : être victimes des enfants tyrans, être eux-mêmes des enfants tyrans, avoir du mal à se faire et à garder des amis. Et plus nous crierons, plus ils auront tendance à être distraits dans leur travail scolaire. Aucun enfant d’une maison où l’on crie ne s’effondre de toutes ces façons à la fois. C’est la vulnérabilité de chacun qui déterminera la ou les zone(s) de fonctionnement qui pourront être affectées.

Et il y a plus. Si nous leur crions dessus pendant deux décennies consécutives (c’est-à-dire à travers les années de l’adolescence), arrivés à l’âge adulte, ils auront tendance à avoir : plus de troubles de la personnalité, plus de problèmes relationnels, plus de dépression et d’anxiété, plus de problèmes de santé, plus de difficultés pour éduquer leurs enfants, plus de dysfonctionnements de toutes les sortes possibles.

Plus nous crions à nos enfants, et moins ils nous apprécient. Moins ils nous apprécient, moins ils veulent être comme nous. En ne s’identifiant pas à nous, ils peuvent rejeter nos enseignements, nos valeurs et tout ce que nous voulons leur transmettre. Ainsi, plus nous crions, moins nous pouvons influencer nos enfants dans la direction que nous voulons qu’ils empruntent. Transmettre notre héritage juif, leur enseigner à différencier le bien et le mal, leur apprendre ce qui nous semble fondamental – notre capacité à faire tout cela est sérieusement menacée si nous crions sur nos enfants.

De plus, il y a de bonnes chances que les enfants sur qui nous crions fréquemment pendant 20 ans ne nous aimeront plus tellement quand ils grandiront et quitteront la maison. Certains ne nous parleront plus jamais. Certains iront habiter à l’autre bout du monde et n’appelleront qu’une fois de temps en temps. Certains resteront suffisamment près pour se disputer avec nous pour toujours. Peut-être verrons-nous nos petits-enfants. Peut-être pas. Et nos petits-enfants seront très susceptibles de se faire crier dessus parce que nous aurons installé dans le cerveau de nos enfants le logiciel du cri. Lorsque nous crions contre nos enfants, nos cris parviennent à nos petits-enfants et au-delà.

Donc, même s’il est tentant de crier pour toutes les raisons citées plus haut, c’est probablement un prix trop élevé à payer pour obtenir un peu de coopération. Heureusement, il existe des alternatives inoffensives et puissantes pour obtenir la coopération d’un enfant. Cela vaut la peine de les apprendre.

De très nombreuses études ont montré qu’il n’est pas vraiment possible d’influencer les enfants d’une façon positive sans avoir au préalable établi un lien avec eux.
Si punir, sermonner, gronder, accuser, humilier et crier ne créent pas de lien, alors quelles sont les alternatives ?

Quels outils pour connecter avec l’enfant ?
Connecter avec l’enfant par l’écoute :
° Ecouter de façon active…écouter vraiment. Prendre le temps de centrer toute son attention sur l’enfant (éliminer les parasites comme les télephones portables, par exemple).
La connexion s’établit lorsque l’adulte commence par valider ce que ressent l’enfant. De la même façon, n’est il pas plus facile pour nous adulte, d’être en lien et réceptifs à l’autre lorsque nous nous sentons compris ?
° Partager avec lui nos sentiments, de façon appropriée.
Souvenons-nous que les enfants nous écoutent après avoir eu le sentiment d’être écoutés.

Les enfants se sentent mis en valeur quand nous partageons respectueusement avec eux quelque chose de personnel.
Respectueusement, c’est à dire sans inventer d’histoires pour faire valoir notre point de vue ou transmettre une morale. Un partage vrai.
° Se centrer, avec les enfants, sur les solutions possibles, une fois le calme revenu. Le mot « avec » est omniprésent parce qu’il représente la voie royale de la connexion.
° Prendre du temps pour s’entraîner et installer les apprentissages de façon respectueuse.
° Poser des questions de curiosité pour aider les enfants à explorer les conséquences de leurs choix au lieu de leur faire subir les conséquences.
° Faire confiance aux enfants, aux élèves pour gérer eux-même leurs problèmes. (Apportons-leur notre soutien dans la recherche de solutions, validons leurs émotions, témoignons-leur notre affection tout en résistant à la tentation de trouver pour eux une solution, de réparer à leur place).
° Passer avec eux un « temps dédié », à deux (sans portable). Rien ne saurait crée un lien plus riche avec nos enfants, nos élèves, que de passer avec eux un temps de qualité apprécié par chacun.
° Les gestes d’affection, lorsque le contexte s’y prête et que cela permet de se sentir mieux avant de faire mieux.

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Plus nous crions sur nos enfants…La discipline positive !!!

Plus nous crierons après nos enfants, plus ils auront des habitudes nerveuses. Tirer les cheveux, mettre les doigts dans le nez, cligner des yeux, faire pipi au lit et encore d’autres symptômes de stress, tout cela augmente lorsque les parents crient plus. Plus nous crierons, plus leur santé physique se dégradera : encore plus de maux de tête, de maux d’estomac, de rhumes et de grippes. Plus nouscrierons, plus ils auront tendance à avoir des problèmes de comportement : désobéissance et attitude de défi à la maison et/ou à l’école. Plus nous crierons, plus nos enfants auront des problèmes sociaux : être victimes des enfants tyrans, être eux-mêmes des enfants tyrans, avoir du mal à se faire et à garder des amis. Et plus nous crierons, plus ils auront tendance à être distraits dans leur travail scolaire. Aucun enfant d’une maison où l’on crie ne s’effondre de toutes ces façons à la fois. C’est la vulnérabilité de chacun qui déterminera la ou les zone(s) de fonctionnement qui pourront être affectées.

Et il y a plus. Si nous leur crions dessus pendant deux décennies consécutives (c’est-à-dire à travers les années de l’adolescence), arrivés à l’âge adulte, ils auront tendance à avoir : plus de troubles de la personnalité, plus de problèmes relationnels, plus de dépression et d’anxiété, plus de problèmes de santé, plus de difficultés pour éduquer leurs enfants, plus de dysfonctionnements de toutes les sortes possibles.

Plus nous crions à nos enfants, et moins ils nous apprécient. Moins ils nous apprécient, moins ils veulent être comme nous. En ne s’identifiant pas à nous, ils peuvent rejeter nos enseignements, nos valeurs et tout ce que nous voulons leur transmettre. Ainsi, plus nous crions, moins nous pouvons influencer nos enfants dans la direction que nous voulons qu’ils empruntent. Transmettre notre héritage juif, leur enseigner à différencier le bien et le mal, leur apprendre ce qui nous semble fondamental – notre capacité à faire tout cela est sérieusement menacée si nous crions sur nos enfants.

De plus, il y a de bonnes chances que les enfants sur qui nous crions fréquemment pendant 20 ans ne nous aimeront plus tellement quand ils grandiront et quitteront la maison. Certains ne nous parleront plus jamais. Certains iront habiter à l’autre bout du monde et n’appelleront qu’une fois de temps en temps. Certains resteront suffisamment près pour se disputer avec nous pour toujours. Peut-être verrons-nous nos petits-enfants. Peut-être pas. Et nos petits-enfants seront très susceptibles de se faire crier dessus parce que nous aurons installé dans le cerveau de nos enfants le logiciel du cri. Lorsque nous crions contre nos enfants, nos cris parviennent à nos petits-enfants et au-delà.

Donc, même s’il est tentant de crier pour toutes les raisons citées plus haut, c’est probablement un prix trop élevé à payer pour obtenir un peu de coopération. Heureusement, il existe des alternatives inoffensives et puissantes pour obtenir la coopération d’un enfant. Cela vaut la peine de les apprendre.

De très nombreuses études ont montré qu’il n’est pas vraiment possible d’influencer les enfants d’une façon positive sans avoir au préalable établi un lien avec eux.
Si punir, sermonner, gronder, accuser, humilier et crier ne créent pas de lien, alors quelles sont les alternatives ?

Quels outils pour connecter avec l’enfant ?
Connecter avec l’enfant par l’écoute :
° Ecouter de façon active…écouter vraiment. Prendre le temps de centrer toute son attention sur l’enfant (éliminer les parasites comme les télephones portables, par exemple).
La connexion s’établit lorsque l’adulte commence par valider ce que ressent l’enfant. De la même façon, n’est il pas plus facile pour nous adulte, d’être en lien et réceptifs à l’autre lorsque nous nous sentons compris ?
° Partager avec lui nos sentiments, de façon appropriée.
Souvenons-nous que les enfants nous écoutent après avoir eu le sentiment d’être écoutés.

Les enfants se sentent mis en valeur quand nous partageons respectueusement avec eux quelque chose de personnel.
Respectueusement, c’est à dire sans inventer d’histoires pour faire valoir notre point de vue ou transmettre une morale. Un partage vrai.
° Se centrer, avec les enfants, sur les solutions possibles, une fois le calme revenu. Le mot « avec » est omniprésent parce qu’il représente la voie royale de la connexion.
° Prendre du temps pour s’entraîner et installer les apprentissages de façon respectueuse.
° Poser des questions de curiosité pour aider les enfants à explorer les conséquences de leurs choix au lieu de leur faire subir les conséquences.
° Faire confiance aux enfants, aux élèves pour gérer eux-même leurs problèmes. (Apportons-leur notre soutien dans la recherche de solutions, validons leurs émotions, témoignons-leur notre affection tout en résistant à la tentation de trouver pour eux une solution, de réparer à leur place).
° Passer avec eux un « temps dédié », à deux (sans portable). Rien ne saurait crée un lien plus riche avec nos enfants, nos élèves, que de passer avec eux un temps de qualité apprécié par chacun.
° Les gestes d’affection, lorsque le contexte s’y prête et que cela permet de se sentir mieux avant de faire mieux.

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Coaching Famille Hypnothérapie

L’approche systémique

Exercice 3. La barque qui tangue.

On compare souvent une relation à une embarcation, comme en témoigne l’expression « on est tous sur le même bateau  » parfois nous parlons même de la galère ! que faire lorsque le bateau menace de chavirer ?

Lisez la consigne suivante, puis répondez à la question posée.

Imaginez que vous êtes  avec une autre personne sur une petite barque, sur une rivière calme et claire. Tout d’un coup, la personne qui vous accompagne se penche de plus en plus d’un coté, commençant à déséquilibrer fortement l’embarcation…

Que faites vous alors?

Savez-vous ce que ferait un systémicien dans la même situation?

Il se pencherait du même côté que l’autre personne, mais un peu moins qu’elle, ce qui conduirait sûrement cette dernière à corriger d’elle-même son comportement et à ramener ainsi la situation vers un point d’équilibre et de sécurité. En systémie, nous parlons de comportements symétrique.

Votre solution ressemble à celle proposée par le systémicien ?

Quelles sont certaines des situations professionnels, familiales,sociales qui vous fait penser à cette métaphore de la barque et dans lesquelles cette façon systémique de vous y prendre pourrait vous être utile?

 

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L’approche systémique

Exercice 3. La barque qui tangue.

On compare souvent une relation à une embarcation, comme en témoigne l’expression « on est tous sur le même bateau  » parfois nous parlons même de la galère ! que faire lorsque le bateau menace de chavirer ?

Lisez la consigne suivante, puis répondez à la question posée.

Imaginez que vous êtes  avec une autre personne sur une petite barque, sur une rivière calme et claire. Tout d’un coup, la personne qui vous accompagne se penche de plus en plus d’un coté, commençant à déséquilibrer fortement l’embarcation…

Que faites vous alors?

Savez-vous ce que ferait un systémicien dans la même situation?

Il se pencherait du même côté que l’autre personne, mais un peu moins qu’elle, ce qui conduirait sûrement cette dernière à corriger d’elle-même son comportement et à ramener ainsi la situation vers un point d’équilibre et de sécurité. En systémie, nous parlons de comportements symétrique.

Votre solution ressemble à celle proposée par le systémicien ?

Quelles sont certaines des situations professionnels, familiales,sociales qui vous fait penser à cette métaphore de la barque et dans lesquelles cette façon systémique de vous y prendre pourrait vous être utile?

 

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L’approche systémique

« le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. »
Marcel proust.

L’approche systémique se distingue des autres approches par sa façon de comprendre les relations humaines. En effet, la personne n’est pas le seul élément analysé dans la démarche. L’intervenant accorde aussi une importance aux différents systèmes dont elle fait partie (familial, professionnel, social, etc.). Cette personne est influencée à la fois par ses intentions, celles des autres, et celles des possibilités du milieu et/ou du système.

 L’intervenant s’intéresse aux règles de vie, aux processus de rétroactions, aux buts recherchés, aux mécanismes d’équilibre et aux pressions vers le changement.  Il observe les modalités de communication, la congruence, le niveau de différenciation et d’engagement au sein du système.  Il s’intéresse au niveau de remise en question permis, à la flexibilité des rôles ainsi qu’à leur degré d’adaptation à l’état actuel du système.

 L’histoire de la famille agit sur l’individu. Cet individu transporte avec lui des valeurs, des émotions et des comportements véhiculés par la famille et ceci depuis plusieurs générations.

 L’intervenant souhaite amener le système-client au prise avec un problème à communiquer sur un nouveau mode et à vivre autre chose.  Il facilitera le décodage adéquat pour que chacun puisse comprendre les autres.  Il favorisera l’expression des émotions, des souhaits, des intentions positives et des efforts fournis.  Il fournira aux membres du système l’occasion de communiquer sur leur façon de communiquer (métacommunication).

C’est pourquoi je vous propose un à deux exercices par jour pour vous initier.

EXERCICE.1 l’agenda relationnel

« le fardeau supporté en groupe est une plume »

les activités et taches de notre quotidien,qu’elles soient uniques ou répétitives ,sont sources de satisfaction ou d’insatisfaction , en fonction de leur fréquence ,de l’intérêt qu’on leur porte ou de la surprise que l’on y trouve.

Prenez votre agenda et relevez vos activités  familiales ,professionnelles ou intimes.

1.Imaginez deux boîtes et inscrivez dans chacune d’elles, les activités qui engendrent de l’ennui ou de la tension.

2.Entre ces deux boites se trouvent maintenant l’ensemble des activités qui sont source de plaisir ,d’intérêt ,de joie ,de surprise …….Prenez quelques instants pour inscrire ces moments qui sont pour pour vous des occasion de vous ressourcer,de manière ponctuelle ou régulière.

EXERCICE.2 le sens des relations

« La seule possibilité de donner un sens à son existence, c’est d ‘élever sa relation naturelle avec tout le monde à la hauteur d’une relation spirituelle. »

Albert Schweitzer

les relations que nous entretenons avec certaines personnes (amis, collègues, confrères, voisins……) nous aident dans la réalisation et l’aboutissement de nos projets car elles soutiennent nos valeurs et nos croyances.

Choisissez quatre personnes de votre entourage, puis répondez aux questions suivantes.

1.Faites un tableau avec Noms et Prénom (ex: Martine),Valeurs partagées (ex: indépendance, liberté) ,Croyances partagées (ex: tout s’arrange au final, tout arrive à qui sait attendre) .

2.Donc, ce qui est important pour moi (valeurs), c’est…

3. Parce ce que je crois (croyance) que…

4. Et tout cela pour pouvoir (finalité)…

5. Et de façon plus large et plus grande pour (finalité plus grande)…

6. Car je pense que ma mission sur terre est de…

Réaliser les projets de vie qui nous tiennent à coeur suppose de s’appuyer sur les valeurs et les croyances qui nous fondent. L’énergie que l’on mettra dans cette construction dépendra en grande partie de notre capacités à nous connecter à un sens plus large (pour qu’elle finalité ?) qui, s’il nous concerne, nous dépasse aussi (c’est l’approche transpersonnelle). C’est à ce niveau que l’on peut parler de mission (qu’elle contribution vais je apporter qui va bénéficier à d’autres humains).

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L’approche systémique

« le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. »
Marcel proust.

L’approche systémique se distingue des autres approches par sa façon de comprendre les relations humaines. En effet, la personne n’est pas le seul élément analysé dans la démarche. L’intervenant accorde aussi une importance aux différents systèmes dont elle fait partie (familial, professionnel, social, etc.). Cette personne est influencée à la fois par ses intentions, celles des autres, et celles des possibilités du milieu et/ou du système.

 L’intervenant s’intéresse aux règles de vie, aux processus de rétroactions, aux buts recherchés, aux mécanismes d’équilibre et aux pressions vers le changement.  Il observe les modalités de communication, la congruence, le niveau de différenciation et d’engagement au sein du système.  Il s’intéresse au niveau de remise en question permis, à la flexibilité des rôles ainsi qu’à leur degré d’adaptation à l’état actuel du système.

 L’histoire de la famille agit sur l’individu. Cet individu transporte avec lui des valeurs, des émotions et des comportements véhiculés par la famille et ceci depuis plusieurs générations.

 L’intervenant souhaite amener le système-client au prise avec un problème à communiquer sur un nouveau mode et à vivre autre chose.  Il facilitera le décodage adéquat pour que chacun puisse comprendre les autres.  Il favorisera l’expression des émotions, des souhaits, des intentions positives et des efforts fournis.  Il fournira aux membres du système l’occasion de communiquer sur leur façon de communiquer (métacommunication).

C’est pourquoi je vous propose un à deux exercices par jour pour vous initier.

EXERCICE.1 l’agenda relationnel

« le fardeau supporté en groupe est une plume »

les activités et taches de notre quotidien,qu’elles soient uniques ou répétitives ,sont sources de satisfaction ou d’insatisfaction , en fonction de leur fréquence ,de l’intérêt qu’on leur porte ou de la surprise que l’on y trouve.

Prenez votre agenda et relevez vos activités  familiales ,professionnelles ou intimes.

1.Imaginez deux boîtes et inscrivez dans chacune d’elles, les activités qui engendrent de l’ennui ou de la tension.

2.Entre ces deux boites se trouvent maintenant l’ensemble des activités qui sont source de plaisir ,d’intérêt ,de joie ,de surprise …….Prenez quelques instants pour inscrire ces moments qui sont pour pour vous des occasion de vous ressourcer,de manière ponctuelle ou régulière.

EXERCICE.2 le sens des relations

« La seule possibilité de donner un sens à son existence, c’est d ‘élever sa relation naturelle avec tout le monde à la hauteur d’une relation spirituelle. »

Albert Schweitzer

les relations que nous entretenons avec certaines personnes (amis, collègues, confrères, voisins……) nous aident dans la réalisation et l’aboutissement de nos projets car elles soutiennent nos valeurs et nos croyances.

Choisissez quatre personnes de votre entourage, puis répondez aux questions suivantes.

1.Faites un tableau avec Noms et Prénom (ex: Martine),Valeurs partagées (ex: indépendance, liberté) ,Croyances partagées (ex: tout s’arrange au final, tout arrive à qui sait attendre) .

2.Donc, ce qui est important pour moi (valeurs), c’est…

3. Parce ce que je crois (croyance) que…

4. Et tout cela pour pouvoir (finalité)…

5. Et de façon plus large et plus grande pour (finalité plus grande)…

6. Car je pense que ma mission sur terre est de…

Réaliser les projets de vie qui nous tiennent à coeur suppose de s’appuyer sur les valeurs et les croyances qui nous fondent. L’énergie que l’on mettra dans cette construction dépendra en grande partie de notre capacités à nous connecter à un sens plus large (pour qu’elle finalité ?) qui, s’il nous concerne, nous dépasse aussi (c’est l’approche transpersonnelle). C’est à ce niveau que l’on peut parler de mission (qu’elle contribution vais je apporter qui va bénéficier à d’autres humains).

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Il est interdit de se tromper

Vidéo à voir absolument, et à diffuser.

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Famille

Concepts de base de la thérapie familiale….2.3

2.3. Les objectifs

Il est important de fixer des objectifs thérapeutiques car quand on ne sait pas où on va, on arrive en général ailleurs !

  •   Les objectifs doivent être précis, concrets, clairs et exprimés en terme de comportements de façon à devenir les indicateurs externes des changements internes qui se produisent.
  •   On prévoit des étapes minimes, mais réalistes, sur le chemin de la réalité désirée.
  •   Lorsqu’il n’existe pas de réussites antérieures ou d’exceptions au problème, on peutaider le patient à forger un avenir différent en imaginant un miracle.
  •   La«questionmiracle»estunetechniquequipermetd’établirunobjectifetde trouver une solution. Elle aide le patient à préciser en quoi les choses seront différentes lorsque le problème sera résolu.« Supposez qu’un miracle se produise cette nuit et que le problème qui vous amène ici soit solutionné. Vous ignorez que le problème a miraculeusement été résolu puisque vous dormez lorsqu’il se produit. A votre avis, que remarquerez-vous de différent, le lendemain matin, qui vous permettra de savoir qu’un miracle s’est produit pendant la nuit ? »

    La question miracle aide à comprendre où le patient veut aller. Elle permet également de suggérer les étapes à franchir pour obtenir les changements désirés.

    Remarque : La thérapie centrée sur la solution se base sur les objectifs du patient et non sur les vôtres !

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