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Coaching Famille Hypnothérapie

L’approche systémique

Exercice 3. La barque qui tangue.

On compare souvent une relation à une embarcation, comme en témoigne l’expression « on est tous sur le même bateau  » parfois nous parlons même de la galère ! que faire lorsque le bateau menace de chavirer ?

Lisez la consigne suivante, puis répondez à la question posée.

Imaginez que vous êtes  avec une autre personne sur une petite barque, sur une rivière calme et claire. Tout d’un coup, la personne qui vous accompagne se penche de plus en plus d’un coté, commençant à déséquilibrer fortement l’embarcation…

Que faites vous alors?

Savez-vous ce que ferait un systémicien dans la même situation?

Il se pencherait du même côté que l’autre personne, mais un peu moins qu’elle, ce qui conduirait sûrement cette dernière à corriger d’elle-même son comportement et à ramener ainsi la situation vers un point d’équilibre et de sécurité. En systémie, nous parlons de comportements symétrique.

Votre solution ressemble à celle proposée par le systémicien ?

Quelles sont certaines des situations professionnels, familiales,sociales qui vous fait penser à cette métaphore de la barque et dans lesquelles cette façon systémique de vous y prendre pourrait vous être utile?

 

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L’approche systémique

Exercice 3. La barque qui tangue.

On compare souvent une relation à une embarcation, comme en témoigne l’expression « on est tous sur le même bateau  » parfois nous parlons même de la galère ! que faire lorsque le bateau menace de chavirer ?

Lisez la consigne suivante, puis répondez à la question posée.

Imaginez que vous êtes  avec une autre personne sur une petite barque, sur une rivière calme et claire. Tout d’un coup, la personne qui vous accompagne se penche de plus en plus d’un coté, commençant à déséquilibrer fortement l’embarcation…

Que faites vous alors?

Savez-vous ce que ferait un systémicien dans la même situation?

Il se pencherait du même côté que l’autre personne, mais un peu moins qu’elle, ce qui conduirait sûrement cette dernière à corriger d’elle-même son comportement et à ramener ainsi la situation vers un point d’équilibre et de sécurité. En systémie, nous parlons de comportements symétrique.

Votre solution ressemble à celle proposée par le systémicien ?

Quelles sont certaines des situations professionnels, familiales,sociales qui vous fait penser à cette métaphore de la barque et dans lesquelles cette façon systémique de vous y prendre pourrait vous être utile?

 

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Coaching Hypnothérapie

De la confiance

L’homme global

Des études scientifiques de plus en plus nombreuses montrent la corrélation entre foi et guérison et confirment les observations faites depuis la nuit des temps : l’animal pensant qu’est l’homme a un rapport différent à la vie, à la maladie, à la mort, selon l’état de confiance dans lequel il se trouve. De la confiance en soi, en son thérapeute, en la science, en Dieu, en passant par les chemins de l’effet placebo, découle une question capitale : croire aide-t-il à guérir ? Quelles sont les influences de l’esprit – à travers par exemple la prière ou la méditation – sur le processus de guérison ? Quelle importance peuvent aussi avoir les propres convictions du médecin dans sa relation de soin et d’aide au malade ? Ces questions importantes éclairent d’un jour nouveau les questions essentielles : qu’est-ce que la maladie ? Que signifie “guérir” ?

La guérison est toujours in fine une autoguérison : c’est le corps et l’esprit du malade qui produisent la guérison. C’est par la régénération cellulaire que le corps retrouve un équilibre qu’il avait perdu. Il est souvent utile, voire nécessaire, d’aider le corps malade par un acte thérapeutique et l’absorption de médicaments. Mais ceux-ci ne font qu’aider le processus d’autoguérison du patient. La dimension psychique, la foi, le moral, l’environnement relationnel, jouent aussi un rôle déterminant dans ce processus de guérison. C’est donc toute la personne qui est mobilisée pour guérir. L’équilibre du corps et de la psyché ne peut être rétabli sans un véritable engagement du malade à retrouver la santé, sans une confiance aux soins qu’on lui prodigue et éventuellement, pour certains, une confiance en la vie en général ou en une force supérieure bienveillante qui les aide. De même, parfois, une guérison, c’est-à-dire un retour à l’équilibre, ne peut se faire sans qu’il y ait aussi un changement dans l’environnement du malade : son rythme et son mode de vie, son alimentation, sa manière de respirer ou de traiter son corps, ses relations affectives, amicales professionnelles. Car bien des maladies sont le symptôme local d’un déséquilibre plus global de la vie du patient. Si celui-ci n’en prend pas conscience, il ira de maladies en maladies, ou souffrira de maladies chroniques, de dépression, etc.

Ce que les chemins de la guérison nous enseignent, c’est qu’on ne peut traiter un être humain comme une machine. On ne peut soigner une personne comme on répare un vélo, en changeant une roue voilée ou un pneu crevé. C’est la dimension sociale, affective et spirituelle de l’homme qui s’exprime dans la maladie et c’est cette dimension globale qu’il faut prendre en compte pour le soigner. Tant que nous n’aurons pas vraiment intégré cela, il y a des chances que la France reste encore longtemps championne du monde de la consommation d’anxiolytiques, d’antidépresseurs et du déficit de sa sécurité sociale.

source: www.analysetransactionnelle.fr

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De la confiance

L’homme global

Des études scientifiques de plus en plus nombreuses montrent la corrélation entre foi et guérison et confirment les observations faites depuis la nuit des temps : l’animal pensant qu’est l’homme a un rapport différent à la vie, à la maladie, à la mort, selon l’état de confiance dans lequel il se trouve. De la confiance en soi, en son thérapeute, en la science, en Dieu, en passant par les chemins de l’effet placebo, découle une question capitale : croire aide-t-il à guérir ? Quelles sont les influences de l’esprit – à travers par exemple la prière ou la méditation – sur le processus de guérison ? Quelle importance peuvent aussi avoir les propres convictions du médecin dans sa relation de soin et d’aide au malade ? Ces questions importantes éclairent d’un jour nouveau les questions essentielles : qu’est-ce que la maladie ? Que signifie “guérir” ?

La guérison est toujours in fine une autoguérison : c’est le corps et l’esprit du malade qui produisent la guérison. C’est par la régénération cellulaire que le corps retrouve un équilibre qu’il avait perdu. Il est souvent utile, voire nécessaire, d’aider le corps malade par un acte thérapeutique et l’absorption de médicaments. Mais ceux-ci ne font qu’aider le processus d’autoguérison du patient. La dimension psychique, la foi, le moral, l’environnement relationnel, jouent aussi un rôle déterminant dans ce processus de guérison. C’est donc toute la personne qui est mobilisée pour guérir. L’équilibre du corps et de la psyché ne peut être rétabli sans un véritable engagement du malade à retrouver la santé, sans une confiance aux soins qu’on lui prodigue et éventuellement, pour certains, une confiance en la vie en général ou en une force supérieure bienveillante qui les aide. De même, parfois, une guérison, c’est-à-dire un retour à l’équilibre, ne peut se faire sans qu’il y ait aussi un changement dans l’environnement du malade : son rythme et son mode de vie, son alimentation, sa manière de respirer ou de traiter son corps, ses relations affectives, amicales professionnelles. Car bien des maladies sont le symptôme local d’un déséquilibre plus global de la vie du patient. Si celui-ci n’en prend pas conscience, il ira de maladies en maladies, ou souffrira de maladies chroniques, de dépression, etc.

Ce que les chemins de la guérison nous enseignent, c’est qu’on ne peut traiter un être humain comme une machine. On ne peut soigner une personne comme on répare un vélo, en changeant une roue voilée ou un pneu crevé. C’est la dimension sociale, affective et spirituelle de l’homme qui s’exprime dans la maladie et c’est cette dimension globale qu’il faut prendre en compte pour le soigner. Tant que nous n’aurons pas vraiment intégré cela, il y a des chances que la France reste encore longtemps championne du monde de la consommation d’anxiolytiques, d’antidépresseurs et du déficit de sa sécurité sociale.

source: www.analysetransactionnelle.fr

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L’approche systémique

« le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. »
Marcel proust.

L’approche systémique se distingue des autres approches par sa façon de comprendre les relations humaines. En effet, la personne n’est pas le seul élément analysé dans la démarche. L’intervenant accorde aussi une importance aux différents systèmes dont elle fait partie (familial, professionnel, social, etc.). Cette personne est influencée à la fois par ses intentions, celles des autres, et celles des possibilités du milieu et/ou du système.

 L’intervenant s’intéresse aux règles de vie, aux processus de rétroactions, aux buts recherchés, aux mécanismes d’équilibre et aux pressions vers le changement.  Il observe les modalités de communication, la congruence, le niveau de différenciation et d’engagement au sein du système.  Il s’intéresse au niveau de remise en question permis, à la flexibilité des rôles ainsi qu’à leur degré d’adaptation à l’état actuel du système.

 L’histoire de la famille agit sur l’individu. Cet individu transporte avec lui des valeurs, des émotions et des comportements véhiculés par la famille et ceci depuis plusieurs générations.

 L’intervenant souhaite amener le système-client au prise avec un problème à communiquer sur un nouveau mode et à vivre autre chose.  Il facilitera le décodage adéquat pour que chacun puisse comprendre les autres.  Il favorisera l’expression des émotions, des souhaits, des intentions positives et des efforts fournis.  Il fournira aux membres du système l’occasion de communiquer sur leur façon de communiquer (métacommunication).

C’est pourquoi je vous propose un à deux exercices par jour pour vous initier.

EXERCICE.1 l’agenda relationnel

« le fardeau supporté en groupe est une plume »

les activités et taches de notre quotidien,qu’elles soient uniques ou répétitives ,sont sources de satisfaction ou d’insatisfaction , en fonction de leur fréquence ,de l’intérêt qu’on leur porte ou de la surprise que l’on y trouve.

Prenez votre agenda et relevez vos activités  familiales ,professionnelles ou intimes.

1.Imaginez deux boîtes et inscrivez dans chacune d’elles, les activités qui engendrent de l’ennui ou de la tension.

2.Entre ces deux boites se trouvent maintenant l’ensemble des activités qui sont source de plaisir ,d’intérêt ,de joie ,de surprise …….Prenez quelques instants pour inscrire ces moments qui sont pour pour vous des occasion de vous ressourcer,de manière ponctuelle ou régulière.

EXERCICE.2 le sens des relations

« La seule possibilité de donner un sens à son existence, c’est d ‘élever sa relation naturelle avec tout le monde à la hauteur d’une relation spirituelle. »

Albert Schweitzer

les relations que nous entretenons avec certaines personnes (amis, collègues, confrères, voisins……) nous aident dans la réalisation et l’aboutissement de nos projets car elles soutiennent nos valeurs et nos croyances.

Choisissez quatre personnes de votre entourage, puis répondez aux questions suivantes.

1.Faites un tableau avec Noms et Prénom (ex: Martine),Valeurs partagées (ex: indépendance, liberté) ,Croyances partagées (ex: tout s’arrange au final, tout arrive à qui sait attendre) .

2.Donc, ce qui est important pour moi (valeurs), c’est…

3. Parce ce que je crois (croyance) que…

4. Et tout cela pour pouvoir (finalité)…

5. Et de façon plus large et plus grande pour (finalité plus grande)…

6. Car je pense que ma mission sur terre est de…

Réaliser les projets de vie qui nous tiennent à coeur suppose de s’appuyer sur les valeurs et les croyances qui nous fondent. L’énergie que l’on mettra dans cette construction dépendra en grande partie de notre capacités à nous connecter à un sens plus large (pour qu’elle finalité ?) qui, s’il nous concerne, nous dépasse aussi (c’est l’approche transpersonnelle). C’est à ce niveau que l’on peut parler de mission (qu’elle contribution vais je apporter qui va bénéficier à d’autres humains).

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L’approche systémique

« le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. »
Marcel proust.

L’approche systémique se distingue des autres approches par sa façon de comprendre les relations humaines. En effet, la personne n’est pas le seul élément analysé dans la démarche. L’intervenant accorde aussi une importance aux différents systèmes dont elle fait partie (familial, professionnel, social, etc.). Cette personne est influencée à la fois par ses intentions, celles des autres, et celles des possibilités du milieu et/ou du système.

 L’intervenant s’intéresse aux règles de vie, aux processus de rétroactions, aux buts recherchés, aux mécanismes d’équilibre et aux pressions vers le changement.  Il observe les modalités de communication, la congruence, le niveau de différenciation et d’engagement au sein du système.  Il s’intéresse au niveau de remise en question permis, à la flexibilité des rôles ainsi qu’à leur degré d’adaptation à l’état actuel du système.

 L’histoire de la famille agit sur l’individu. Cet individu transporte avec lui des valeurs, des émotions et des comportements véhiculés par la famille et ceci depuis plusieurs générations.

 L’intervenant souhaite amener le système-client au prise avec un problème à communiquer sur un nouveau mode et à vivre autre chose.  Il facilitera le décodage adéquat pour que chacun puisse comprendre les autres.  Il favorisera l’expression des émotions, des souhaits, des intentions positives et des efforts fournis.  Il fournira aux membres du système l’occasion de communiquer sur leur façon de communiquer (métacommunication).

C’est pourquoi je vous propose un à deux exercices par jour pour vous initier.

EXERCICE.1 l’agenda relationnel

« le fardeau supporté en groupe est une plume »

les activités et taches de notre quotidien,qu’elles soient uniques ou répétitives ,sont sources de satisfaction ou d’insatisfaction , en fonction de leur fréquence ,de l’intérêt qu’on leur porte ou de la surprise que l’on y trouve.

Prenez votre agenda et relevez vos activités  familiales ,professionnelles ou intimes.

1.Imaginez deux boîtes et inscrivez dans chacune d’elles, les activités qui engendrent de l’ennui ou de la tension.

2.Entre ces deux boites se trouvent maintenant l’ensemble des activités qui sont source de plaisir ,d’intérêt ,de joie ,de surprise …….Prenez quelques instants pour inscrire ces moments qui sont pour pour vous des occasion de vous ressourcer,de manière ponctuelle ou régulière.

EXERCICE.2 le sens des relations

« La seule possibilité de donner un sens à son existence, c’est d ‘élever sa relation naturelle avec tout le monde à la hauteur d’une relation spirituelle. »

Albert Schweitzer

les relations que nous entretenons avec certaines personnes (amis, collègues, confrères, voisins……) nous aident dans la réalisation et l’aboutissement de nos projets car elles soutiennent nos valeurs et nos croyances.

Choisissez quatre personnes de votre entourage, puis répondez aux questions suivantes.

1.Faites un tableau avec Noms et Prénom (ex: Martine),Valeurs partagées (ex: indépendance, liberté) ,Croyances partagées (ex: tout s’arrange au final, tout arrive à qui sait attendre) .

2.Donc, ce qui est important pour moi (valeurs), c’est…

3. Parce ce que je crois (croyance) que…

4. Et tout cela pour pouvoir (finalité)…

5. Et de façon plus large et plus grande pour (finalité plus grande)…

6. Car je pense que ma mission sur terre est de…

Réaliser les projets de vie qui nous tiennent à coeur suppose de s’appuyer sur les valeurs et les croyances qui nous fondent. L’énergie que l’on mettra dans cette construction dépendra en grande partie de notre capacités à nous connecter à un sens plus large (pour qu’elle finalité ?) qui, s’il nous concerne, nous dépasse aussi (c’est l’approche transpersonnelle). C’est à ce niveau que l’on peut parler de mission (qu’elle contribution vais je apporter qui va bénéficier à d’autres humains).